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Badlands - Dakota du Sud

  • Photo du rédacteur: CoolinClassic
    CoolinClassic
  • 16 mars
  • 1 min de lecture

Terrence Malick avec son Badlands, entrait, dès son premier film, dans la cour des grands ! Dès l’entrée dans les « mauvaises terres », nos smartphones reçoivent les premières alertes ouragan… Quelques minutes plus tard, nous découvrons que la vitre arrière de la Chevrolet est fracassée. Les paysages érodés de buttes ou pinacles jaunes-rougeâtres des Badlands sont « monstrueux » comme l’écrit Maghnia. Cette région subdésertique fut, pendant plus de 10.000 ans, le terrain de chasse de tribus amérindiennes arikaras ou sioux. L’une des zones du parc national est, d’ailleurs, gérée conjointement avec une tribu Sioux Oglala , d’où les sites de Ghost Dances. Rapidement, nous stoppons la voiture pour admirer un immense troupeau de bisons, ces herbivores parfaitement adaptés à la végétation steppique, puis les petits chiens de prairie à queue noire qui squattent la route sans stress. Le temps se gâte et les alertes ouragan se multiplient. Les locaux ne semblent pas paniqués, c’est bon signe ! Des panneaux mettent en garde : les rongeurs sont porteurs de la peste. Thug life ! Nous admirons des paysages à la beauté primitive, mais aussi un superbe mouflon des Montagnes Rocheuses qui s’approche au plus près de nous. Ses grandes cornes incurvées lui ont donné le surnom de « bighorn », et mâle ou femelle, celui-ci est énorme. Dans la matinée, nous partons pour de courtes randonnées. L’ouïe fine de madame décèle la présence d’un crotale des prairies. La cascabelle du rattlesnake a bien fait de nous alerter, car ses changements de couleurs le font confondre avec les éléments végétaux qui l’entourent… Nulle envie de recevoir son venin hémotoxique qui peut entraîner la mort.


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